Patrice Chambrier

Chambrier dresse ses « portraits d’icônes » à l’office de la culture
… Laissant le choix de voir ou de ne pas croire. De choisir, de s’approprier, selon que l’on se situe loin ou près. Les différents degrès de lecture d’un même personnage

Mais la mise en abîme d’un ressenti personnel. Sur la dimension d’un personnage. Le patchwork des couleurs, des formes et mobiles à géométrie variable symbolise les influences propres de l’artiste. Pop Art, contre culture, zest de punk, d’ésotérisme ou d’anarchisme…

… comment l’artiste peut donner à de tels monstres sacrés que sont J.F.K., Marylin, ou Obama, un visage complet et original.
Patrice Chambrier s’approprie tout le caractère et les détails de cette culture populaire en transcrivant dans ses portraits sa vision composite et colorée de ces héros déchus ou adulés.

Des Icônes gravées dans le marbre de l’histoire. Et sculptées en bas relief boisé.
Symbole d’un temps aussi singulier qu’éphémère. Empli de rêves et d’illusions…